Squid Game et ses 7 références artistiques cachées
- Christian De Moor
- 30 oct. 2021
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 31 oct. 2021
La série coréenne aux allures de coup de poing cathodique, bat tous les recours d'audience. Au-delà des enjeux sociétaux qu'elle soulève, il faut lui reconnaitre un esthétisme certain. Beaux-Arts Magazine a réussi à identifier au fil des épisodes, au moins 7 références artistiques, allant des escaliers des prisons imaginaires du graveur Piranese vers 1750 ou à ceux de La Muralla Roja (1973) de l’architecte catalan Ricardo Bofill en passant par Le Cri d'Edvard Munch (1893) ou parmi les références plus récentes, le Street Art coloré de Okuda San Miguel. Les VIP se prélassent dans des meubles visiblement inspirés d'un cocktail du mobilier anthropomorphe érotique pop d’Allen Jones et des mannequins peints de pois colorés des performances de Yayoi Kusama, deux artistes emblématiques des années 60. L'identité des VIP quant à elle, est camouflée par des masques inspirés probablement du Bal surréaliste de la baronne Marie-Hélène de Rothschild organisé au château de Ferrières en 1972 au cours duquel elle accueillit ses invités costumés, la tête surmontée d'une tête de cerf aux larmes de diamants. L'ensemble des références illustrées est à découvrir sur le site de Beaux-Arts Magazine : https://www.beauxarts.com/lifestyle/7-references-artistiques-cachees-dans-squid-game/?fbclid=IwAR2YsMprW-drJ4ZKW5F5MpdectewqnGx5yJqLGJESwmK3Xdi71Y3GYd1M8U
#SquidGame #Netflix #Référencesartistiques #ricardobofill #edvardmunch #AllenJones #okudasanmiguel #piranese #YayoiKusama

Comments